Barrage. Ou l’art de donner un nom d’une simplicité déconcertante à un jeu qui n’a pourtant rien de simple.
Barrage. Ou la preuve qu’un mécanisme de pose d’ouvriers presque élémentaire peut se transformer en un monstre d’ingéniosité, porté par une palette qui semble tout droit sortie des années mille neuf cent vingt.
Barrage. Ou la capacité rare de créer une œuvre d’ingénierie ludique que l’on ne réalise vraiment qu’après quelques tours de roue et quelques gouttes d’eau détournées.

Ce jeu, on le connait bien par ici, déjà joué en saison 5 et en saison 10, on vous le fait revisiter par quelques photos. Venez voir.
Photo 1 : le poste de commande

Barrage. Ou comment un simple plateau personnel peut se transformer en centrale d’ingénierie miniature avec ses ouvrages d’art alignés comme un quartier soviétique, ses ouvriers prêts à bétonner et sa roue qui attend qu’on la fasse tourner pour dompter les rivières comme un vrai contremaître de chantier.
Photo 2 : l’eau en embuscade

Barrage. Ou cette étrange satisfaction de voir des gouttes patienter sagement en altitude, prêtes à dévaler la vallée pour nourrir une turbine et déclencher un petit frisson d’ingénieur qui murmure intérieurement « encore un coup bien placé, je vais me les faire ».
Photo 3 : brevets en cours

Barrage. Ou ce moment particulier où les tuiles de technologies avancées ressemblent soudain à des plans secrets griffonnés dans un atelier, prêtes à booster une idée brillante et à faire croire que les deux petits ouvriers roses sont sur le point de révolutionner l’hydroélectricité à eux seuls. Bon, n’exagérons rien 🙂
Photo 4 : la montagne, c’est beau

Barrage. Ou ce panorama hypnotisant devient un terrain de jeu pour ingénieurs ludiques, qui n’attendent qu’une goutte pour les propulser tout au bout de la piste d’énergie.
Photo 5 : trio en tension ludique

Barrage. Ou cette scène improbable où trois joueurs souriants cachent trois histoires très différentes. Tchi, lancé comme une crue soudaine, finit dignement à 100 points. Minh qui râle du début à la fin, persuadé que son « personnage » vaut moins qu’une goutte perdue dans une canalisation (et ses 64 points confortent son diagnostic, mais quel visionnaire !). Et puis il y a Bob, qui avance tranquille tranquille, érige ses bâtiments comme un magnat new-yorkais qui choisirait l’emplacement d’un futur gratte-ciel et qui termine à 103 points (désolé Tchi), avec le calme de celui qui pilotait la vallée depuis le début.
Photo 6 : le chef-d’oeuvre

Barrage. Ou cette belle vision d’ensemble qui conclut une partie aussi exigeante que plaisante.
Et à bientôt !
Daniel aka Bob
(l’article vous a plus, ou pas, donnez votre avis ci-dessous avec les pouces)
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Je ne le connais pas du tout !
Merci pour cette découverte.
Ludiquement.
Ludtche.
http://www.facilyjeux.com
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Avec plaisir ! Merci pour le commentaire 🙂
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