Jeudi 27 février 2025, 7h39. La deuxième journée pro commence à 9h00 et les pass pivilège VIP pourront entrer dès 14h00. L’idée est de se concentrer ce matin sur des jeux expert, en attendant le reste de la troupe qui nous rejoindra donc en début d’après-midi.
Direction Lucky Duck Games (pour tester Andromeda’s Edge) ou Super Meeple (pour tester Sankoré). Suivez le guide !
Mercredi 26 février 2025, 11h31. Le retour aux sources. Le retour aux traditions. Le retour à Cannes ! Quel plaisir de se lever à l’aube, l’excitation en tête, pour fouler les pavés de la Croisette et découvrir, avant midi, les devantures éclatantes et ludiques du Palais des Festivals. Cette année encore, l’organisation repousse les limites : des espaces intérieurs et extérieurs déployés comme jamais !
Le Palais entier vibre au rythme du jeu. Chaque recoin est investi, chaque espace sollicité. Et déjà, une marée de passionnés déferle, avide de découvertes et de parties endiablées. C’est grandiose. C’est magique. C’est le FIJ !
Encore des changements. Le mercredi est réservé aux pros, peu importe leur badge, et nous nous dirigeons en petit comité vers l’entrée. Suivez le guide !
Deuxième épisode du cycle de la fièvre du rail de cette 10ème saison, le bien nommé German Railroads, qui est au jeu de train ce que l’ingénierie allemande est à la fantaisie : carré, optimisé, implacable. Oui, c’est vrai. Pas de place à l’improvisation ici, même l’ombre d’un wagon est optimisée pour maximiser chaque placement d’ouvriers (bon, là j’déconne). Bienvenue dans l’optimisation à l’allemande !
Qui de Bob, Stefano ou Stéphane ira piquer la place de Minh, dernier vainqueur du Russian Railraods ? Sachant qu’on a corsé le jeu en y ajoutant le module « Charbon », pour encore plus de plaisir (et de salade de points). C’est par ici !
Le train incarne l’ingéniosité humaine et l’esprit de connexion. Il symbolise l’expansion industrielle, la conquête de vastes territoires et le lien entre les cultures. Mais ici, c’est avant tout la thématique principale du nouveau cycle de la fièvre du rail, incarnée par la big box Ultimate Railroads, un jeu de Helmuth Ohley et Leonhard Orgler, édité par Z-Man Games et francisé par Asmodée. Monument du jeu de société, on commence le premier épisode avec Russian Railroads.
Stéphane (qu’on avait pas encore vu cette saison), Minh, Tchi et Bob s’affrontent. Qui sera déclaré vainqueur, qui conduire sa locomotive vers la victoire, qui remportera la partie à toute vapeur et qui va dérailler ? C’est par ici.
Il était une fois quatre courageux aventuriers qui osèrent braver l’autorité de Morcar, Seigneur du Chaos. Intrépides, ils s’enfoncèrent dans les profondeurs obscures de ses donjons, affrontant des périls réservés à de véritables héros. Après de nombreuses quêtes audacieusement menées, ils croisèrent la route de Grak, l’infâme héritier d’Ulag, un orc enchanteur aux pouvoirs redoutables. Leur affrontement fut épique, mais frôla la tragédie. Exténués et blessés, ils furent secourus par des villageois compatissants. Des semaines de repos et de soins magiques leur furent nécessaires pour se relever. C’est alors qu’une nouvelle épreuve les attendit : Wardoz, l’illustre enchanteur royal, avait été enlevé par les sinistres sbires de Morcar.
C’est ainsi que Griamore, surnommé le Chevalier Sacré, un barbare légendaire, Mardoc le Nain maniant sa redoutable hache, Aranea l’elfe aux pouvoirs mystiques, et Le Chauve Capé, l’enchanteur énigmatique du groupe, se lancèrent à nouveau dans l’aventure. Ensemble, ils s’enfoncèrent encore plus profondément dans les sombres entrailles du donjon maléfique… Mais sont-ils jamais revenus ?
Dernière étape du cycle Simone Luciani de cette saison 10 ! Au programme, une immersion dans le Grand Austria Hotel, qui, tel un café viennois, se pare d’un charme rétro et d’une ambiance feutrée. L’attente autour de cette reprogrammation en fait une partie à déguster lentement, entre stratégies subtiles et plaisirs partagés. Un moment que les joueurs attendaient comme une occasion de savourer chaque mouvement, chaque interaction, dans un cadre qui évoque autant la sophistication que le défi.
Trois joueurs : Minh, Stefano et Bob. Tous trois déjà vainqueurs en cette saison 10. Ça promet une grand moment.
Le calendrier Tzolk’in est basé sur un cycle de 13 × 20 = 260 jours à caractère divinatoire et religieux du calendrier maya. Ce calendrier rituel de 260 jours est commun à toutes les civilisations précolombiennes de la Mésoamérique (les Nahuas l’appelaient tonalpohualli). L’origine de ce calendrier est obscure. Les plus anciennes attestations remontent à 650 av. J.-C. dans des noms calendaires (source Wikipedia).
Mais tout ça n’a pas d’importance, l’important c’est que Tzolk’In est maintenant un jeu grandiose, édité par Iello, et dont le co-auteur est encore ce diable de Simone Luciani. Oui le cycle de cette 10ème saison n’est pas terminé, quatrième jeu déjà pour honorer cet auteur de renom.
Non, nous n’allons pas jouer 260 jours mais (seulement) 26 tours. Bob, Stefano et Minh ont endossé leur plus beau costume à plumes pour prouver au monde entier qu’ils étaient le meilleur Ajaw. Ko’oten wil !
Les Rats de Wistar n’est pas un jeu édité par Cranio Creations, enfin si. Mais d’abord, c’est une référence aux rats de Wistar, un type de rats albinos très utilisé dans les laboratoires pour la recherche scientifique. Ils sont choisis pour leur comportement et leur santé prévisible, ce qui en fait des modèles très pratiques pour les expériences en laboratoire, notamment dans le domaine médical et biologique. Glauque n’est-ce pas ? Mais rassurez-vous, ces rats sont devenus intelligents avec toutes ces expériences et il se sont enfuis.
Ils ont maintenant trouvé un petit coin de paradis à coloniser : une belle forêt, une prairie bien herbeuse, une bonne terre bien riche et surtout une maison à explorer. Du coup, 4 énormes rats, ceux ayant reçus le plus de « dopage », ont pris le dessus sur la tribu, chacun ayant réussi à rallier des partisans. Qui d’entre Stefano dit Le Nano (allez savoir pourquoi…), Minh dit Le Malade (en raison de la couleur jaune qu’il joue constamment… bon ok je sors), Stéphane dit Le Vieux Sage (toujours à laisser les jeunots passer devant) ou Bob dit Le Rat d’égout (non, c’est pas pour l’odeur… enfin j’espère) l’emportera ? Quel rat sera nommé Grand Chef de la colonie ?
Barrage, édité chez Cranio Creations, est un véritable coup de cœur pour moi, car il réunit deux de mes passions : les métiers de l’eau et les jeux de société. Ce jeu stratégique me permet de revivre, de manière ludique, les défis que je rencontre au quotidien, comme la gestion de la ressource « eau » et de l’ingénierie civile. Chaque partie fait écho à mon expertise professionnelle, tout en m’offrant l’occasion de me détendre et de réfléchir différemment à des problématiques que je connais plutôt bien. C’est un équilibre parfait entre passion et réflexion. Mais avouons-le, j’attends avec impatience le jour où un jeu portera sur la gestion des eaux usées 🙂 là, ce serait vraiment le top du top !
Assez rigolé. Le cycle « Simone Luciani » se poursuit avec ce 2ème épisode très attendu depuis la dernière partie, avec les mêmes lascars que Nucleum : Tchi, Minh et Bob. Optimisé pour 4 joueurs mais seulement 3 joueurs, quel développement va être opéré et comment va être gérée cette précieuse ressource qu’est l’eau ? Suivez le guide.