La guerre, toujours la guerre…

Dans l’univers post-apocalyptique de Fallout, le monde tel que nous le connaissons n’existe plus. Dévasté par une guerre nucléaire dévastatrice, la civilisation a sombré dans le chaos, laissant derrière elle un paysage désolé et inhospitalier. Mais au cœur de ce Wasteland dévasté, une lueur d’espoir persiste : la survie de l’humanité et le désir de reconstruire un avenir meilleur.

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Depuis ses débuts en 1997, la série de jeux vidéo Fallout a captivé les joueurs du monde entier avec son ambiance sombre, son humour noir et son gameplay immersif. Plongés dans un monde où les ruines du passé côtoient les horreurs du présent, les joueurs sont invités à explorer des terres ravagées, à affronter des dangers mortels et à prendre des décisions qui auront un impact sur le destin de l’humanité.

Dans cet article, nous allons explorer certains épisodes de la saga Fallout. Ils n’y sont pas tous, uniquement ceux connus et joués. Nous examinerons ce qui rend chaque jeu unique, pourquoi ils ont captivé les joueurs et comment ils ont contribué à façonner cet univers riche et complexe. Bonne lecture !

En 1997, Fallout a complètement chamboulé le monde des jeux vidéo. Ce n’était pas juste un jeu, c’était une vraie révolution. Déjà, son univers post-apocalyptique, c’était du presque jamais vu. Au lieu de se contenter d’un décor morne et bordélique, Fallout nous offrait un monde super cohérent et immersif. Chaque petit détail participait à cette atmosphère sombre : des ruines de villes en miettes, des créatures mutantes flippantes et des factions rivales prêtes à tout pour survivre. L’exploration, c’était un vrai bonheur, chaque découverte nous plongeait un peu plus dans les mystères du Wasteland. C’était la liberté, la vraie.

Ensuite, le système de combat au tour par tour, c’était une vraie claque. À l’époque, la plupart des RPG optaient pour des combats en temps réel, mais Fallout, lui, nous proposait de prendre le temps de planifier chaque action. On pouvait vraiment réfléchir à chaque mouvement, utiliser les caractéristiques de notre perso et anticiper les réactions des ennemis. C’était stratégique et gratifiant, et ça rendait les combats vraiment prenants.

Et puis, il y avait ces choix moraux et leurs conséquences, un truc de dingue pour l’époque. Dans la plupart des jeux de rôle, nos décisions avaient peu d’impact sur l’histoire. Mais dans Fallout, chaque choix comptait. On pouvait explorer plein de chemins différents, avec leurs propres récompenses et conséquences. On avait la liberté de façonner notre destin, de prendre des décisions difficiles et de vivre avec les résultats de nos actions. Ça ajoutait une profondeur émotionnelle incroyable et une rejouabilité dingue.

En gros, Fallout a été révolutionnaire en 1997 grâce à son univers captivant, son système de combat innovant et son approche audacieuse de la narration interactive. Ça a non seulement redéfini les standards des RPG, mais ça a aussi inspiré toute une génération de développeurs à repousser les limites de ce que les jeux vidéo pouvaient offrir en termes d’immersion, de liberté de choix et d’impact émotionnel.

Fallout 2, sorti en 1998, a pris tout ce qui était génial dans le premier et l’a poussé encore plus loin. Si Fallout avait déjà marqué les esprits, Fallout 2 a carrément enfoncé le clou. On retrouvait cet univers post-apo si immersif, mais cette fois-ci, c’était encore plus grand, plus fouillé, avec encore plus de trucs à découvrir.

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Le jeu nous plongeait dans un monde encore plus vaste et varié. On passait des petits villages perdus aux grandes villes crasseuses, chaque endroit avec son ambiance bien à lui. Le monde était bourré de nouvelles quêtes, de personnages hauts en couleur, et de tonnes de dialogues. On pouvait vraiment se perdre des heures à explorer et à discuter avec les habitants du Wasteland, chacun ayant sa petite histoire, ses secrets et ses embrouilles.

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Fallout 2 a aussi amélioré le système de combat au tour par tour. Les combats étaient toujours aussi stratégiques, mais avec plus d’armes, plus de compétences, et plus de possibilités tactiques. On avait vraiment l’impression de contrôler chaque détail, de pouvoir adapter notre style de jeu à notre perso. C’était super satisfaisant de planifier une attaque et de voir notre stratégie payer.

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Mais là où Fallout 2 a vraiment brillé, c’est dans les choix moraux et leurs conséquences. On avait encore plus de liberté pour façonner notre destinée, avec des décisions encore plus difficiles à prendre. Le jeu nous mettait face à des dilemmes moraux de fou, et chaque choix avait un vrai impact sur le monde autour de nous. On pouvait influencer le destin de communautés entières, changer la vie des gens, pour le meilleur ou pour le pire. Cette profondeur émotionnelle était juste dingue.

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Fallout 2 a aussi ajouté des trucs vraiment cools comme la possibilité d’avoir des compagnons avec nous, chacun avec sa propre personnalité et ses propres compétences. Ça rendait l’aventure encore plus immersive, on se sentait moins seul dans ce monde dévasté. En résumé, Fallout 2 a non seulement pris tout ce qui faisait la grandeur de Fallout, mais il a aussi apporté encore plus de profondeur, de complexité et de liberté. C’était une suite digne de ce nom, qui a continué à repousser les limites de ce que les RPG pouvaient offrir. Plus grand, plus riche, plus intense, Fallout 2 a solidifié la série comme une référence incontournable du genre.

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Fallout 3, sorti en 2008, a marqué un tournant énorme pour la série en la faisant passer d’un RPG isométrique à un jeu en 3D à la première personne. Bethesda a repris les rênes et a réussi à garder l’essence de Fallout tout en lui donnant un coup de jeune impressionnant.

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Déjà, l’univers post-apo, c’était encore du lourd. Mais cette fois, on pouvait l’explorer en 3D, et c’était un vrai régal. Se balader dans les ruines de Washington D.C., découvrir les détails des bâtiments dévastés, fouiller chaque recoin des tunnels de métro et des bases militaires abandonnées… L’immersion était totale. Chaque lieu racontait une histoire, et on avait vraiment l’impression de vivre dans ce monde en ruines.

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Niveau gameplay, Fallout 3 a introduit le système VATS (Vault-Tec Assisted Targeting System). Un mélange de combat en temps réel et de combat au tour par tour. En gros, on pouvait arrêter le temps pour cibler les parties spécifiques des ennemis, ce qui rajoutait une dimension stratégique super fun. On se retrouvait à planifier nos attaques, à choisir entre viser la tête pour un coup critique ou les jambes pour ralentir un ennemi. C’était vraiment satisfaisant et donnait un feeling unique aux combats.

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Fallout 3 a aussi conservé cette importance des choix moraux et de leurs conséquences. Nos décisions avaient un impact sur le monde et les personnages autour de nous. Que ce soit décider du sort de Megaton en choisissant de faire exploser ou de désamorcer la bombe nucléaire en son centre, chaque choix nous faisait réfléchir et peser le pour et le contre. Ça donnait une profondeur émotionnelle et une rejouabilité incroyable.

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Enfin, le jeu a maintenu les compagnons mais est allé encore plus loin, chacun avec sa propre histoire et ses propres compétences. Ils pouvaient nous aider en combat, nous donner des quêtes ou même influer sur nos décisions. Avoir un compagnon à nos côtés rendait l’aventure encore plus engageante et immersive. En résumé, Fallout 3 a révolutionné la série, 10 ans après la sortie de l’épisode 2, en la faisant passer à la 3D tout en gardant ce qui faisait le charme des premiers jeux : un univers riche et immersif, des combats stratégiques et des choix moraux significatifs. C’était une bouffée d’air frais pour la série, tout en restant fidèle à son esprit, et ça a ouvert la porte à une nouvelle génération de fans de Fallout.

Fallout 4, sorti en 2015, a encore une fois propulsé la série vers de nouveaux sommets. Bethesda a pris tout ce qui faisait la force de Fallout 3 et l’a peaufiné, ajouté des tonnes de nouveautés et encore plus d’immersion. La perfection a été atteinte.

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Dès le début, l’univers post-apo de Fallout 4 t’attrape. On commence juste avant la chute des bombes, ce qui nous donne un aperçu de ce qu’était le monde avant l’apocalypse. Puis, on se retrouve projeté dans un Boston dévasté, le Commonwealth. Les décors sont magnifiques, détaillés, et chaque ruine, chaque bâtiment raconte une histoire. Se balader dans les terres désolées, explorer les bâtiments abandonnés et découvrir les secrets cachés, c’est un vrai plaisir.

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Niveau gameplay, Fallout 4 a raffiné le système VATS. On pouvait toujours arrêter le temps pour viser précisément les parties des ennemis, mais cette fois, le temps ralentissait plutôt que de s’arrêter complètement, ce qui rendait les combats plus dynamiques et intenses. On avait aussi un système de crafting super détaillé. On pouvait fabriquer nos propres armes, armures, et même construire et gérer des colonies entières. Ça ajoutait une nouvelle dimension au jeu, où chaque ressource trouvée pouvait être utile.

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Les choix moraux et leurs conséquences étaient toujours au cœur du jeu, mais Fallout 4 a poussé ça encore plus loin avec un système de factions. On pouvait choisir de s’allier ou de s’opposer à différentes factions, chacune avec ses propres objectifs et idéologies. Nos choix influençaient le destin du Commonwealth et les relations avec ses habitants. Ça ajoutait une profondeur stratégique et narrative incroyable.

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La personnalisation des colonies dans Fallout 4 était une caractéristique bienvenue car elle permettait aux joueurs de laisser libre cours à leur créativité et de façonner leur propre refuge post-apocalyptique. Des aspects tels que la construction de structures, l’installation de défenses, la gestion des ressources et même l’assignation de tâches aux habitants ajoutaient une profondeur immersive au gameplay. Cette fonctionnalité offrait une expérience de jeu dynamique et interactive, permettant aux joueurs de transformer des terrains désolés en véritables havres de paix, tout en renforçant le sentiment de survie et d’impact sur le monde du jeu.

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Et puis, il y avait la personnalisation de notre personnage et de notre équipement. On pouvait vraiment créer un héros à notre image, choisir ses compétences, ses armes, ses armures, et les modifier à volonté. Ça permettait de s’approprier encore plus l’aventure.

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En résumé, Fallout 4 a su garder l’essence de la série tout en y ajoutant de nouvelles couches de profondeur et d’immersion. Plus beau, plus vaste, avec un gameplay encore plus riche, il a su captiver les fans de la première heure tout en attirant une nouvelle génération de joueurs. C’était un véritable tour de force, consolidant Fallout comme une série légendaire dans le monde des jeux vidéo.

Fallout Shelter, sorti en 2015 également, nous offre une nouvelle perspective sur l’univers Fallout en nous plaçant dans la peau d’un superviseur d’abri anti-atomique. Le but du jeu est de construire, gérer et améliorer notre abri, en s’assurant que les habitants sont heureux et en sécurité. On doit gérer les ressources comme la nourriture, l’eau et l’énergie, tout en construisant des salles pour améliorer la vie dans l’abri.

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Le gameplay est addictif et repose sur la gestion des habitants : les entraîner, les équiper et les envoyer en mission dans le Wasteland pour récupérer des ressources et des objets précieux. Les incidents comme les incendies ou les attaques de créatures ajoutent du suspense et nous obligent à rester sur nos gardes.

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Fallout Shelter conserve l’esthétique et l’humour noir caractéristiques de la série, avec des petits clins d’œil partout. Les graphismes mignons et stylisés ajoutent une touche unique et rendent le jeu accessible à tous. En résumé, Fallout Shelter propose une expérience de gestion amusante et engageante, tout en restant fidèle à l’esprit de Fallout. Simple, mais profond, il permet de découvrir l’univers sous un nouvel angle, offrant des heures de fun et de stratégie.

La série Fallout est devenue légendaire grâce à son exploration profonde de l’univers post-apocalyptique, où les thèmes de danger et de peur pour l’humanité résonnent fortement. Dans un monde où les tensions géopolitiques sont de plus en plus palpables et où les menaces de conflits armés et de guerre nucléaire semblent omniprésentes, cet univers prend une résonance particulièrement inquiétante.

Les crises internationales actuelles soulignent la fragilité de la paix et les conséquences potentiellement dévastatrices de nos actions. Les menaces de certains Etats et la nouvelle course à l’armement mondiale amplifient cette peur collective. La série Fallout nous confronte à notre propre responsabilité face à ces menaces croissantes, nous rappelant que chaque décision peut nous rapprocher un peu plus du bord de l’abîme.

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Le monde semble se rapprocher d’un scénario digne de Fallout pour de vrai. La possibilité d’un monde post-apocalyptique n’est plus simplement une fiction, mais une réalité inquiétante qui hante nos esprits et renforce l’attrait de l’univers de Fallout.

Et à bientôt !

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